La Charente : 1re place sur le podium mondial

OK, on s’emballe un peu sur le titre… Mais ça pourrait bien avoir lieu avec tous nos amis cadres et entrepreneurs des grandes villes qui veulent se mettre au vert…

 

À en croire le sondage Ifop Cadremploi LeFigaro, 70 % des cadres et entrepreneurs d’Île-de-France voudraient déménager « au vert ». Loin du stress de la ville, la campagne devient le nouvel éden. Changement de latitude en perspective pour ces entrepreneurs en mal de verdure ? Oh que oui ! 90% des cadres sont d’ailleurs prêts à larguer les amarres à la condition que leur entreprise délocalise ou accepte plus de télétravail. Pas folles les guêpes !

 

« Home, sweet home »

 

Plus de la moitié des personnes interrogées déclarent souhaiter vivre dans une maison plus grande, avec un jardinet… La BASE, non ?! Ils sont plus de 80% à désirer une amélioration de leur qualité de vie, qu’ils considèrent trop dégradée. C’est le cas des Franciliens, de plus en plus nombreux à vouloir quitter la grisaille de leur banlieue surpeuplée. Et qu’est-ce qu’ils recherchent, d’après toi ? Un coin moins pollué dans un environnement moins stressant et tout de même pas trop loin de la capitale…

 

On ne vient pas de mentionner la Charente, par hasard ?

 

Figaro Immo et Cadremploi, avec la participation de PriceHubble, ont établi un palmarès des « villes où travailler au vert ». Ils ont pris en compte les cinq atouts recherchés par la majorité des entrepreneurs français : le prix au mètre carré, le taux de chômage, l’ensoleillement, l’accessibilité de Paris en train et la couverture en fibre. Parmi les 20 villes sélectionnées dans ce palmarès (Poitiers, Rennes, Nancy, Quimper, Tours, etc.), Angoulême se place en première position !

 

Pas si étonnant quand on connaît l’accent qui a été mis ces dernières années sur l’attractivité dans notre département. Les points forts d’Angoulême sont le prix au mètre carré, l’ensoleillement, les infrastructures et le taux de couverture en fibre, tout cela allié à l’absence de gros points faibles : un taux de chômage jugé acceptable et un temps de trajet modéré pour rejoindre la capitale en train.

 

Ce n’est pas un excès d’optimisme, si l’on en croit ces informations, que de conjecturer une croissance à venir dans notre séduisant pays. Allez, on bombe le torse (autocongratulation). On poste un LinkedIn : « Fier·e d’être charentais·e ! » C’est l’moment. Et si ça donnait envie aux grands médias nationaux de refaire la promo de la Charente ? Va savoir…

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