Financer sa start-up

Si l’on met de côté leur cœur de métier, il est une autre activité qui occupe une grande partie du temps des jeunes entrepreneurs de startups : trouver de l’argent (ceux qui ont répondu jouer au babyfoot seront de paperasse RSI pendant 1 mois). Pour en savoir plus sur ces mystérieuses opérations, Keyrus Innovation Factory a publié une infographie sur le financement des startups françaises en 2016.

Lever du fond

L’économie des startups ne s’est jamais si bien portée et c’est tout un panel de nouveaux métiers et services qui s’est développé pour permettre aux jeunes pousses de se développer.

On a aujourd’hui en France 233 incubateurs et 55 accélérateurs. Côté financement à proprement parler, l’État s’investit par le biais de Bpifrance (27 milliards en 2016) et de la Caisse des Dépôts (165 milliards d’euros en 2016).

Il faut dorénavant compter dans les levées de fonds sur la participation de plus en plus prégnante des business angels et des investisseurs corporate dont on apprécie l’expérience et le conseil bienveillant.

Les fonds d’investissements les plus actifs en 2016 restent Kima Ventures, Indivest Partners et Cap Horn.

Notons enfin le rôle de plus en plus présent du crowdfundind et l’appel à la lovemoney, +30 % depuis 2015.

Qui lève quoi ?

C’est en Ile-de-France qu’on lève le plus de fonds (et qu’on joue le plus au babyfoot). Les secteurs qui marchent : le cloud (340 M), le divertissement (305 M) et le marketing (260 M).

Les jeunes pousses françaises vont bien et leurs investisseurs se multiplient et ont su se diversifier pour mieux coller aux attentes des jeunes investisseurs et du marché. En Europe, la France est 2e en termes d’opérations bouclées et de montants levés.

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